Usage des prélèvements d'eau douce.

Des ressources rares,
des besoins croissants.


Indispensable à toute forme de vie ainsi qu’aux activités humaines, l’eau est une ressource rare, fragile, inégalement répartie sur Terre. Si l’or noir fut le grand enjeu mondial du XXe siècle, «l’or bleu», à n’en pas douter, dessinera la géopolitique et l’économie mondiales de celui qui vient.

Des infrastructures inadaptées ou inexistantes, une sensibilisation à ces enjeux encore insuffisante, génèrent le gaspillage de nos ressources, la destruction de notre environnement, des pertes financières et humaines colossales.

Un contexte alarmant, que Kertalg ne peut changer avec son seul procédé de recyclage, mais que sa solution de transformation des eaux usées, dont par ailleurs, l’élimination coûte cher, peut en prévenir et en limiter les effets.

Kertalg transforme les eaux usées et déchets organiques en deux ressources à forte valeur ajoutée : l’eau et l’énergie pour chacun selon ses besoins…

Sur ce marché mondial, Kertalg a spécifiquement ajusté son offre à trois grands secteurs :
• La ville et ses éco-quartiers
• L’industrie agroalimentaire et les exploitations agricoles
• Les resorts hôteliers ou sites isolés, pauvres en ressources et/ou infrastructures.

Gaspillage alimentaire.

La surproduction et la surconsommation sont responsables de l'épuisement des ressources et du réchauffement climatique. Un modèle de consommation responsable permettrait de limiter les dégâts. Malheureusement, nous ne pouvons que constater que, malgré des signaux toujours plus forts, notre monde peine à changer de paradigme. Heureusement, des initiatives locales comme celle de Kertalg permettent néanmoins de limiter les dégâts.

À l'échelle de la France, 10 millions de tonnes de denrées alimentaires sont gaspillées chaque année (1,3 milliard de tonnes à l'échelle de la planète). Du producteur au consommateur, nous sommes tous responsables.

Ces denrées sont non seulement perdues, mais produisent de surcroît des effets néfastes sur l'environnement :
gaspillage d'eau (250 000 milliards de litres par an, soit 3 fois le lac Léman),
production de gaz à effet de serre (2 milliards de tonnes d'équivalents CO2),
utilisation excessive d’engrais et pollution des réserves d'eau douce (cf région Bretagne).

Une partie de ce gaspillage peut être évité par des mesures simples : des industries et des consommateurs responsables. À l'échelle du consommateur, c'est 79 kg de biodéchets qui sont générés chaque année. Au sein de ces déchets, 60 kg correspondent aux reliefs de préparation de repas, et ne peuvent donc pas être évités.